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lundi 13 février 2017

Monuments historiques berbères


Il s’agit de biens funéraires produits d’une brillante civilisation originale à la fois africaine et méditerranéenne. Ces monuments royaux représentent une sélection d’exemples remarquables de sépultures remontant à des périodes variées et issues de régions différentes. Ils témoignent de la diversité des conceptions architecturales et techniques artisanales élaborées au cours de plusieurs millénaires. Découvrez la restitution par l’image du Medracen, du mausolée royale de Maurétanie, du tombeau de Massinissa et du tombeau royal de la dynastie Massaesyles par le premier spécialiste au monde de sites de l’Antiquité. Des restitutions réalistes, crédibles et scientifiquement rigoureuses avec de réelles qualités artistiques.


La Soumaa d’El Khroub à 15 km au sud-est de Cirta, capitale du royaume Massyle, et à 570 m d’altitude. C’est le tombeau de Massinissa grand unificateur du Maghreb antique. Son architecture est d’inspiration gréco-punique et remonte au II° siècle avant J.C.


Le Medracen situé à 34 km au nord-est de Batna sur la voie de l’Aurès au Tell. C’est un Mausolée numide de marque berbère avec des influences puniques et grecques. Il appartenait aux rois Massyles prédécesseurs de Massinissa et remonte au III° siècle avant J.C. A proximité une nécropole sur une distance de 2 km et une dizaine de tumulus.


Le Mausolée Royal Maurétanien sur la côte ouest méditerranéenne à 12 km de Tipasa. Cette sépulture royale a été attribuée à Bocchus et remonte au I° siècle avant J.C. Sa technique de construction est berbère mais le revêtement extérieur est punique.


Le Mausolée de Beni Rhénane à 12 km au sud-ouest de Beni Saf en bordure de l’oued Tafna. Tombeau Royal de la dynastie Massaesyles attribué à Syphax au II ° avant J.C. Il s’apparente dans son architecture au Medracen.


Jean-Claude Golvin, architecte, archéologue français et ancien chercheur au CNRS est le premier spécialiste au monde de sites de l’Antiquité.

Le but de la restitution architecturale est de reconstruire méthodiquement, en collaboration avec les meilleurs connaisseurs des sites (historiens, archéologues, etc), une image crédible de la ville ou du monument étudié. Sur le plan scientifique, ce travail est rigoureux : il consiste à construire ce que les chercheurs appellent « un modèle théorique de la ville ancienne ». Mais cette image, destinée à la communication auprès d’un large public, sera d’autant plus efficace qu’elle aura de réelles qualités artistiques.

Ce qui rend son travail incomparable est le fait qu’il ne témoignage pas seulement d’une grande habileté, mais qu’il respecte, jusque dans le moindre détail, les découvertes des archéologues et des spécialistes.

L’image est réalisée à l’encre de Chine et à l’aquarelle, mode d’expression préféré de l’auteur. Elle est nécessairement réaliste et précise car elle a un rôle didactique à jouer. Elle doit attirer l’attention et séduire. Son intérêt artistique est dû à la personnalité et la sensibilité de l’auteur.

Né sous le ciel ensoleillé de Tunisie, à Sfax en 1942, il est, dès son plus jeune âge, passionné par le dessin, l’histoire et la visite des sites antiques d’Afrique du Nord (Tunisie, Algérie). Il participe régulièrement à des expositions, publie de nombreux ouvrages et contribue à plusieurs revues.


Le Tombeau de Tin Hinan (Abalessa) dans le Hoggar à 80 km à l’ouest de Tamanrasset et à 850 m d’altitude. Son architecture elliptique remonte au V° siècle après J.C.


Les Djeddars, tombeaux situés à 30 km au sud de Tiaret (dans les hauts plateaux). Ensemble remarquable de monuments funéraires construits au V° et VI° siècle après J.C date à laquelle la région de Tiaret était le lieu d’un important royaume berbère.

1 commentaire :

Unknown a dit…

ماذكر عن ضريح بني رنين هو بمثابة الكارثة الضريح في اساسه ليس هكذا وهو علي شكل هرمي مثل ضريح بوركو بتونس في جربة الباحث استند علي ضريح صبراتة في ليبيا الذي بناه عامل اثار ايطالي انتونيو ديفيتا من نسج خياله والعناصر المعمارية الذي يدعي انها اصلية عثر عليها في السور البيزنطي كما يقول في بحثه المنشور في مجلة ليبيا القديمة وهذا لاكبر دليل علي جهل هؤلاء بالثقافة والعمارة والتاريخ الليبي القديم .اننا امام مسئلة خطيرة تتعلق بتشويه اثارنا بناء علي نظريات سياية امن بها هؤلاء الباحثين الغربيين وهي مدرسة تاسست في القرن السابع عشر علي اساس ديني وقومي
د. شوقي ابراهيم معمر استاذ تاريخ القديم ليبيا

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